Communication industrielle

Implanter une collecte efficiente des données afin de permettre une exploitation pertinente de ces données. Motivation : éviter de bâtir des états consolidés sur de l’information « arrivée en vrac », « stockée en vrac »,  et pourtant parfois « ressorties avec des couleurs en 3D ».

Très souvent, le contrôle commande et l’automatisation se satisferont du soft real-time. Pourquoi faire plus compliqué et plus cher ?

Bien que les technologies abondent, je suggère de rester centré sur des standards usuels:

  • Interfaces communs d’accès aux données avec OPC
  • Bus de terrain courants : CAN, Profibus, Modbus TCP
  • Protocoles propriétaires de type client/serveur ou publish/subscribe sur TCP/UDP
  • Protocoles sur bus séries (232, 485) qui selon le besoin peuvent être toujours pertinents

Bus de terrain dépoussiérés

La demande croissante en volume de données et/ou en performances d’acquisition induit

  • D’intégrer les spécificités temps réel avec des bus de terrain nouvelle génération tels que EtherCAT, Ethernet I/P
  • D’utiliser des infrastructures mixtes matérielles et logicielles (stack protocolaires, cartes dédiées « intelligentes » avec « mémoire partagée »)
  • Architectures cadencées avec de larges « data-set » qui posent des sujets d’intégration avec l’informatique de gestion
  • La migration ou l’enscapsulation des bus legacy séries

Exemple : mise en oeuvre et intégration en C, C++, C# à base de matériels Hilscher, KVaser, Applicom, NSI, National Instruments (NI-DAQmx), ou du hardware propriétaire